«Welcome to Iceland, the temperature here is -2°»
- the-islander
- 30 mars 2015
- 2 min de lecture
JOUR 1 : AVANT LE STAGE
« Welcome to Reykjavik, the temperature here is minus 2° and the local time is 14:30» Voici les premiers mots que j’ai entendus en arrivant sur le sol Islandais, avant de rester enfermé 15 minutes dans l’avion car la porte était bloquée. Autant vous dire que je suis poisseux dans la vie, donc cela ne m’a pas réellement perturbé.
C’est Alexia, ancienne étudiante de RISLAV qui est gentiment venue me récupérer à l’aéroport afin de m’amener à l’office. Mes premières impressions sur le pays furent : le vide. Il n’y avait personne, sur la route, seulement 3 voitures se disputaient la double voie. Le paysages assez lunaire mais au lieu de belles montagnes enneigées se montraient.
Nous arrivons en seulement 30 minutes à Hafnarfjordur, mon lieu de résidence et de stage. Arrivés à l’office, je rencontre mon maitre de stage, Steinarr, qui se présente, m’aide à porter mes bagages jusqu’à mon studio et me fait le tour de l’entreprise. C’est une petite entreprise mais l’ambiance semble très détendue ! Je fais la rencontre de 2 autres collègues dont un mécanicien et un autre membre du staff, mais qui gère l’entreprise Go Car Rental.
On me laisse un petit peu de temps afin de déballer mes valises et m’installer tranquillement et lorsque je retourne à l’office (qui se situe à seulement 10 secondes à pied de mon studio), Steinarr me donne des clés de voiture et me conseille d’aller découvrir la ville, et pourquoi pas de me rendre jusqu’à Reykjavik, la capitale, qui se situe à 10km d’Hafnarfjordur.
Je me décide donc dans un premier temps de rester dans la ville, car je n’avais jamais conduit de voiture automatique et je préférais m’y habituer avant de prendre « l’autoroute » pour aller à Reykjavik. Ayant vite pris la main, je rends dans la capitale, muni d’un GPS. J’ai donc fait un tour rapide de la ville, longé la mer et contourné la grande église dont j’ignore encore le nom jusqu’à maintenant.
Je retourne doucement à l’office, quand Alexia a fini sa journée, et m’emmène faire un tour de la ville.

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